Papyrus petit format - Les musiciennes
Papyrus naturel avec motif de contour - bordure naturelle - environ 13 × 18 cm
Cette taille est excellente pour l'enseignement.
Pour la peinture :
12 crayon à double fibre - Article n° 2701
Set de 6 peintures à tempera - Article n° 2711
Jeu de 14 couleurs à tempera - Article n° 2712
Jeu de pinceaux 6 pièces - Article n° 2713
Palette de mélange - Article n° 2714
PGI Papyrus
en papyrus posé à la main, fabriqué en Égypte
motif sérigraphié, bordure naturelle
peut être peint avec des stylos et des aquarelles
L'échelle de la demande: | Facile |
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Ligne de temps: | 0,5 Heure d'ouverture |
Les musiciens
En guise de groupe pour un banquet d'invités, un groupe de jeunes filles joue pour divertir les invités. La composition et l'interprétation de la musique et de la danse étaient une forme d'art respectée dans l'Égypte ancienne. Les musiciennes utilisent un hautbois double, un luth et une harpe.
La culture musicale de l'Égypte ancienne était caractérisée par une tradition extraordinairement longue, relativement continue et stable. D'une part, la musique servait les rituels religieux et cérémoniels, et d'autre part, les plaisirs quotidiens.
Les instruments étaient variés et riches. Au fil des siècles, elle s'est développée de manière continue et s'est enrichie d'importations en provenance de pays étrangers. Les battements de mains et le claquement des baguettes en ivoire accompagnaient les danseurs, même dans l'Ancien Empire, surtout lorsqu'il s'agissait de performances acrobatiques.
Les figures de danse silencieuses, en revanche, plus enjambées que sautées, sont généralement accompagnées par des ensembles instrumentaux plus importants. Ils sont composés d'une ou plusieurs flûtes longitudinales sans bouche et à moitié jouées, et d'un ou plusieurs harpistes. Plus tard, le hautbois double et le luth à 5-7 cordes avec une toute petite caisse de résonance sont ajoutés.
Les chanteurs, qui sont toujours représentés assis, tiennent leur main gauche derrière l'oreille gauche à la manière de la tradition arabe, tandis que la main droite effectue souvent des signes cheironomiques, soit pour dessiner la ligne mélodique dans l'air, soit pour donner des signes rythmiques. Le son était plutôt nasal, aigu, dû à l'utilisation d'un "masque vocal" avec une forte tension des muscles faciaux.